Tu n’es pas “trop”. Tu es Vivante.
Et ce que j’ai découvert, c’est qu’on ne nous apprend jamais à habiter cette intensité. À faire de notre hypersensibilité une force. À nous aimer dans nos vagues, nos larmes, nos élans. Alors j’ai appris. À écouter. À m’écouter. À me valider. À respirer. À créer un espace sacré à l’intérieur de moi où je pouvais être… moi. Et aujourd’hui, si je peux te transmettre une chose…
C’est que ta sensibilité est un don. Oui, elle te fatigue. Oui, elle peut te submerger. Mais elle est aussi ton guide. Ton accès à une sagesse profonde, à une vérité qui ne s’explique pas, mais qui vibre. Tu n’es pas “trop”. Tu es un univers. Un feu sacré. Une femme en pleine reconnexion.
Et maintenant ? Ferme les yeux. Respire. Et rappelle-toi que ce monde a besoin de ta lumière, même vacillante. Et que tu n’as pas à traverser ça seule. Si mon histoire résonne en toi… Un espace doux et puissant pour t’aider à transformer ta sensibilité en puissance de vie.
Tu ressens tout, trop fort. Tu penses trop. Tu t’inquiètes trop. Tu pleures pour des choses “banales”. Et tu t’en veux. Je connais ça. Pendant des années, j’ai cru que j’étais “trop” : Trop sensible. Trop intense. Trop fragile. On me disait que je devais “prendre sur moi”, “gérer mes émotions”, “ne pas en faire tout un monde”.
Alors j’ai fait ce qu’on attendait de moi. J’ai mis des masques. J’ai souri quand je pleurais à l’intérieur. J’ai dit “ça va” quand j’étais au bord du gouffre. Mais un jour… mon corps a dit stop. Et mon âme a crié. Assez. Le jour où j’ai compris que je n’étais pas cassée : Je n’étais pas trop. J’étais vivante. Ce n’était pas une faiblesse. C’était une puissance non canalisée.
Tu n’es pas “trop”. Tu es Vivante.
Et ce que j’ai découvert, c’est qu’on ne nous apprend jamais à habiter cette intensité. À faire de notre hypersensibilité une force. À nous aimer dans nos vagues, nos larmes, nos élans. Alors j’ai appris. À écouter. À m’écouter. À me valider. À respirer. À créer un espace sacré à l’intérieur de moi où je pouvais être… moi. Et aujourd’hui, si je peux te transmettre une chose…
C’est que ta sensibilité est un don. Oui, elle te fatigue. Oui, elle peut te submerger. Mais elle est aussi ton guide. Ton accès à une sagesse profonde, à une vérité qui ne s’explique pas, mais qui vibre. Tu n’es pas “trop”. Tu es un univers. Un feu sacré. Une femme en pleine reconnexion.
Et maintenant ? Ferme les yeux. Respire. Et rappelle-toi que ce monde a besoin de ta lumière, même vacillante. Et que tu n’as pas à traverser ça seule. Si mon histoire résonne en toi… Un espace doux et puissant pour t’aider à transformer ta sensibilité en puissance de vie.
Tu ressens tout, trop fort. Tu penses trop. Tu t’inquiètes trop. Tu pleures pour des choses “banales”. Et tu t’en veux. Je connais ça. Pendant des années, j’ai cru que j’étais “trop” : Trop sensible. Trop intense. Trop fragile. On me disait que je devais “prendre sur moi”, “gérer mes émotions”, “ne pas en faire tout un monde”.
Alors j’ai fait ce qu’on attendait de moi. J’ai mis des masques. J’ai souri quand je pleurais à l’intérieur. J’ai dit “ça va” quand j’étais au bord du gouffre. Mais un jour… mon corps a dit stop. Et mon âme a crié. Assez. Le jour où j’ai compris que je n’étais pas cassée : Je n’étais pas trop. J’étais vivante. Ce n’était pas une faiblesse. C’était une puissance non canalisée.
